Les débuts modestes
Première session avec huit participants dans un café du 2ème arrondissement. On avait préparé pour quinze personnes. Mais ces huit-là sont restés jusqu'au bout.
Depuis 2019, nous aidons les personnes curieuses à trouver leur propre voix à travers l'écriture. Pas de recettes miracles ici — juste un accompagnement honnête pour ceux qui veulent progresser à leur rythme.
Découvrir nos programmesEn 2019, trois anciens étudiants en lettres se sont retrouvés autour d'un café. On avait tous remarqué la même chose : les gens adorent raconter des histoires, mais beaucoup n'osent jamais les écrire. Trop intimidant. Trop académique.
Alors on a créé veralyntho — un endroit où l'écriture redevient accessible. Pas besoin d'avoir publié un roman ou gagné un prix littéraire. Juste l'envie d'explorer, d'essayer, parfois de rater. C'est comme ça qu'on apprend vraiment.
Aujourd'hui, on accompagne des centaines de personnes chaque année. Certains écrivent leur premier texte à 55 ans. D'autres cherchent simplement à structurer leurs idées. Et ça nous va parfaitement.
On ne prétend pas réinventer l'écriture. Mais on croit fermement à quelques principes simples qui changent vraiment les choses pour nos participants.
On écrit dès la première séance. Les concepts viennent après, quand ils ont du sens. Pas l'inverse.
Nos formateurs donnent des commentaires précis et utilisables. Pas juste "c'est bien" ou "travaillez encore".
Chacun avance à son propre rythme. Certains mettent six mois, d'autres deux ans. C'est normal.
Une petite équipe passionnée qui consacre son temps à rendre l'écriture plus accessible et moins intimidante.
Coordinateur pédagogique
Ancien journaliste reconverti dans l'enseignement. Benoît construit nos programmes avec une obsession : que chaque exercice serve vraiment à quelque chose.
Formatrice principale
Romancière et enseignante depuis douze ans. Émeline a ce don rare de repérer exactement où un texte bloque et comment le débloquer simplement.
Première session avec huit participants dans un café du 2ème arrondissement. On avait préparé pour quinze personnes. Mais ces huit-là sont restés jusqu'au bout.
Après deux ans d'expérimentation, on a formalisé notre méthode. Pas pour être rigides — juste pour pouvoir accueillir plus de monde sans perdre ce qui marchait.
On a ajouté des ateliers thématiques : fiction courte, écriture autobiographique, techniques narratives. Les participants demandaient plus de variété. On a écouté.
Plus de 300 participants nous font confiance chaque année. On reste une petite structure — et c'est voulu. Ça permet de garder un vrai suivi personnalisé pour chacun.